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n juillet 1997, une nouvelle réforme de l’ONU est présentée par Kofi Annan.
Maurice Bertrand analyse cette réforme et la qualifie de « réformette découlant de la vision américaine d’une ONU réduite à sa plus simple expression. »
Il s’agit ici de quelques articles de presse ou interviews que j'ai donnés au fil des ans.
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es projets de réformes de l’ONU sont comme les monstres du loch Ness.
Provocatrice, la formule d’un participant au débat organisé hier soir par ce journal sur la nécessité d’une refonte de la Charte de l’Organisation résume les doutes comme les enthousiasmes suscités par un thème qui n’a pas fini de faire couler de l’encre.
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‘ONU a cinquante ans: Révision, réforme, réinvention
Depuis la chute du mur de Berlin, les opérations de maintien de la paix de l’ONU traversent une crise de croissance à laquelle ni le Conseil de sécurité ni les gouvernements ne sont préparés. Or la réforme de l’ONU passe nécessairement par une réflexion en profondeur sur le rôle et la mission des Casques bleus. Le point.
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‘ONU a cinquante ans: Révision, réforme, réinvention
Depuis 1985, l’ONU est en examen permanent. Un colloque de haut niveau fait dès lundi soir le point sur les projets de réforme, à commencer par celui du français Maurice Bertrand. Un débat ouvert au public reflétera les travaux
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ans le cadre d’un colloque financé par la Confédération, à l’occasion du cinquantième anniversaire des Nations Unies, Maurice Bertrand dévoilera lundi prochain une institution toute neuve: l’Organisation de sécurité globale. Visite guidée.
Après avoir longuement réfléchi à la réforme du système actuel des Nations Unies, vous concluez qu’elle est impossible et vous décidez qu’il faut s’y prendre tout autrement: n’ayant peur de rien, vous rédigez une nouvelle charte, en 67 articles, pour de vrai. Que cherchez-vous, Maurice Bertrand, avec une démarche aussi radicale ?
« J’ai voulu frapper les imaginations ! »
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eux hommes s’attaquent au coeur de l’ONU. Moitié ambulance, moitié pompier: les Nations-Unies se sont résolues à cette double fonction, faute de trouver un nouveau souffle. Mais à Genève, deux spécialistes de l’organisation proposent une refonte radicale des institutions onusiennes
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orazde vient de tomber. Son statut de zone de sécurité n’a pas été respecté a déclaré Boutos-Ghali. C’est un échec cuisant pour la communauté internationale et pour l’ONU. Pour Maurice Bertrand ce n’est pas l’institution qui est en cause. « L’ONU ne fait que masquer l’impuissance des États qui n’ont aucune envie de faire la guerre ».
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‘ONU est-elle une organisation de paix ou une organisation de guerre? Les opérations de « maintien de la paix » vont-elles continuer de se développer, sans pour autant obtenir de résultats ? Au lieu d’attendre que les pays aient été détruits, ne pourrait-on pas intervenir avant qu’il ne soit trop tard ? Telles sont les questions que se pose aujourd’hui l’opinion.